PLK : un nouveau single, « C’est mort »

Après sa collaboration avec Panenka Music, PLK, de son nom de rappeur Polak apparaît super productif. Sa productivité artistique reste une évidence. Le rappeur enchaîne ses projets tels que Platinium et quelque temps et Mental. Il revient maintenant avec un tout nouveau single pour égayer davantage ses fans : C’est Mort. Sa polyvalence et sa technique font sa particularité.

Un rappeur technique et polyvalent

Polak, rappeur parisien technique et polyvalent, est vraiment capable de quitter la trap pour des morceaux très rythmiques et beaucoup plus doux. En cette année, il décide de ne pas passer l’été au quartier. Il demande, à cet effet, qu’on lui ramène son papier parce que C’est mort.

« Ramenez-moi mon papier, je ne passe pas l’été au quartier », dit-il dans le refrain. C’est le hit qu’il dévoile à ses fans avant de « prendre un départ du quartier ». Ce clip est très doux et rythmique, en plus de cela c’est très excitant, avec des punchlines du genre « je préfère un long silence que dix paroles dans le vide ».

Avec un timbre vocal très soigné, PLK présente, comme d’habitude, une proposition visuelle intéressante futuriste du clip. Au même niveau que le style, le rappeur français propose un tube bien rythmé. On y constate un brin reggaeton et ses lyrics semblent souvent un peu de vécu. Pour imposer une atmosphère happy et légère, il fait un usage léger de vocodeur.

C’est mort, un son original

Original est le nouveau hit du rappeur Parisien Polak. Il fait une description dans un monde futuriste. Le single doit toute son originalité à Original Kids qui assure la réalisation de la production effectuée par Josh Rosinet. Grâce à ces deux, le titre C’est mort est une réussite musicale pour Polak et la présentation des scènes de cette vidéo, de leur agencement n’en disent pas moins.

Fans de PLK ? N’oubliez pas de visiter et d’écouter cet original son de votre rappeur. C’est avec ce clip qu’il souhaite vous rendre un peu plus gai, avant son départ. Car, avec son papier, il ne passe pas l’été au quartier et, pense-t-il, avec « une bécane, un tireur : C’est mort ».