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mercredi 16 juillet 25

Booba persiste à ridiculiser Gims avec une blague sur son pantalon

Le clash entre Booba et Gims vient de franchir un nouveau cap dans l’absurdité. Depuis sa prestation au festival Les Ardentes le 5 juillet dernier, le rappeur parisien n’arrive plus à échapper aux quolibets du DUC. La raison ? Une mystérieuse trace visible sur son pantalon durant son show, qui a fait exploser les réseaux sociaux et relancé leur éternel conflit. Alors que Gims enchaîne les tubes et cartonne avec “Le Nord se Souvient”, Booba préfère se concentrer sur cette anecdote vestimentaire pour alimenter sa guerre d’humour impitoyable.

Ce qui devait être une simple apparition festivalière s’est transformé en ammunition parfaite pour le boss du 92i. Dans l’univers impitoyable du rap français, où l’image et la mode comptent autant que les lyrics, cette histoire de vêtements tachés devient un symbole de vulnérabilité que Booba exploite sans relâche. Les médias s’emparent du phénomène tandis que les fans se divisent entre ceux qui trouvent la blague hilarante et ceux qui estiment que le DUC va trop loin.

Gims au sommet de sa carrière malgré l’incident vestimentaire

Impossible de nier l’évidence : Gims traverse une période faste incroyable. Son titre “Spider” en featuring avec Dystinct a ouvert la voie à une série de hits qui déferlent sur les plateformes de streaming. “Ninao”, “Baby”, “Diana”, “Sois pas timide” et “Ciel” se succèdent à un rythme effréné, confirmant que l’artiste maîtrise parfaitement les codes de la musique urbaine actuelle.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 370 000 copies vendues uniquement en digital pour “Le Nord se Souvient”, ce qui en fait la meilleure vente de l’année. Cette performance exceptionnelle lui ouvre les portes des plus grands festivals estivaux. Au festival Les Ardentes, sa setlist mélange habilement ses nouveaux succès avec les classiques de la Sexion d’Assaut, créant une alchimie parfaite entre nostalgie et modernité.

Une performance mémorable entachée par un détail vestimentaire

La soirée du 5 juillet restera gravée dans les mémoires pour des raisons inattendues. Gims débarque sur scène avec “Sapés comme jamais”, enchaîne avec “Changer”, “Spider”, “Ciel” et “Tout donner”. L’ambiance est électrique, le public en transe. L’artiste pousse même l’audace jusqu’à ressortir “Wati by Night” et l’iconique “Désolé”, rappelant à tous ses origines dans le rap français.

Mais les caméras et smartphones du public captent un détail qui va faire le tour de la toile : une trace suspecte à l’arrière de son pantalon. Les théories fusent sur les réseaux sociaux, alimentant une vague de memes et de commentaires. Dans l’univers de la mode urbaine où chaque détail compte, cette bavure vestimentaire devient rapidement virale.

Booba transforme l’incident en arme de guerre digitale

Booba ne rate jamais une occasion de tacler ses rivaux, et cette fois-ci, le cadeau est trop beau. Le rappeur de Boulogne s’empresse de réagir sur Instagram et X, accusant son rival d’avoir eu un “problème intestinal” en plein spectacle. L’humour grinçant du DUC fait mouche auprès de ses fans, qui partagent massivement ses publications.

Ce qui aurait pu rester un simple incident de scène prend des proportions démesurées grâce à l’acharnement du boss du 92i. Booba maîtrise parfaitement l’art du buzz sur les réseaux sociaux, transformant chaque polémique en opportunité marketing. Sa stratégie ? Marteler le même message jusqu’à ce qu’il devienne incontournable dans les conversations.

L’acharnement continue dix jours après l’incident

Dix jours plus tard, alors que l’affaire aurait pu retomber, Booba remet une pièce dans la machine. Quand Gims se félicite des classements de ses titres sur les plateformes, le DUC contre-attaque avec un cinglant “Non parlons de ça plutôt”, accompagné de références à l’incident vestimentaire. Cette persistance révèle une stratégie bien rodée : ne jamais laisser respirer l’adversaire.

Cette technique de harcèlement numérique illustre parfaitement les nouvelles règles du clash dans le rap français. Plus besoin de morceaux diss, les médias sociaux suffisent à alimenter une guerre d’usure. Booba excelle dans cet exercice, transformant chaque détail en munition pour son arsenal digital.

Les réseaux sociaux, nouveau terrain de jeu du conflit

Ce clash illustre parfaitement l’évolution des rivalités dans l’univers du rap. Fini le temps où les embrouilles se réglaient uniquement en musique, désormais les réseaux sociaux deviennent le ring principal. Booba l’a bien compris et utilise Instagram et X comme des armes de destruction massive de la réputation.

L’incident du pantalon de Gims devient ainsi le symbole d’une nouvelle forme de violence symbolique dans l’industrie musicale. Chaque artiste doit désormais surveiller non seulement ses lyrics, mais aussi sa tenue, ses gestes et ses moindres faux pas. Les médias amplifient le phénomène, transformant chaque polémique en contenu viral.

L’impact sur l’image des deux rappeurs

Paradoxalement, ce type de conflit profite aux deux protagonistes. Gims voit son nom circuler massivement sur les réseaux sociaux, générant une visibilité gratuite pour ses dernières sorties. Booba, de son côté, entretient sa réputation de provocateur redoutable, consolidant sa position de leader d’opinion dans le rap game.

Cette bataille d’humour révèle aussi les attentes du public en matière de divertissement. Les fans ne se contentent plus de la musique, ils veulent du spectacle permanent, des rebondissements et des moments d’authenticité brute. Les vêtements tachés de Gims deviennent alors un symbole de vulnérabilité humaine dans un univers souvent artificialisé.

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